REBEL, pour David REmington et Martin BELiveau, certes. Mais surtout parce qu’eux deux ont une certaine mèche dissidente, une aversion bien assumée du « tout cuit » et du sentier battu. Chez REBEL, on invente. On cherche la nouvelle façon de faire, l’aventure qui n’est pas encore défrichée, le projet où tout est à construire. Après tout, qui se nomme rebelle se porte nécessairement défenseur d’un idéal, et ce envers un état actuel qu’il bataille avec conviction, intelligence et passion. Cette association est des plus bénéfiques, elle jette un regard contemporain sur ce métier (certains diront vocation) forgé à la main, au gré de l’évolution des entreprises culturelles québécoises et des besoins des nombreux artistes de talent.